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Egypte ancienne - Collection 2024

Plongez dans l’histoire avec la pochette Égypte ancienne 2024 : 4 numéros captivants sur la fin de la civilisation égyptienne, Tanis, trois reines mystérieuses et les trésors d’Égypte.

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Pour vous la collection 2024 d'Egypte Ancienne à prix réduit !

Egypte Ancienne n°51

Prévue pour ce printemps, mais à une date toujours inconnue à ce jour, après une vingtaine d’années de travaux, l’ouverture complète et définitive du Grand musée égyptien au public est probablement l’événement le plus att endu de ces dernières années par tous les passionnés d’égyptologie du monde entier. Ce nouveau musée, où sera exposée entre autres et en intégralité la fabuleuse collection d’objets de la tombe de Toutânkhamon, a été en soi un projet qu’on pourrait qualifier de « pharaonique ». C’est aussi l’occasion pour nous de vous présenter ses vénérables prédécesseurs, le musée de Boulaq, créé à l’initiative d’Auguste Mariette et le vénérable musée égyptien du Caire, où l’on retrouve encore l’infl uence française avec Gaston Maspéro. Après la fin des croisades, les voyageurs occidentaux qui se sont rendus en Égypte en ont fait une description mêlée de fascination et d’exotisme, où réalité et imaginaire étaient souvent confondus. Si leurs récits sont longtemps restés la principale source d’information sur le pays, celui-ci était surtout pour ces pèlerins en chemin vers Jérusalem une « extension » de la Terre Sainte, une « Terre sanctifiée » où la Sainte Famille avait trouvé refuge et leur intérêt se portait davantage sur les lieux où elle était passée que sur les vestiges de la civilisation antique. La piraterie, qui est probablement aussi ancienne que la navigation, était endémique en Méditerranée durant l’Antiquité et elle n’avait pas le statut qu’il lui a été donné à l’époque moderne. Fonctionnant de concert avec le commerce maritime, pratiquée tout autant que combattue par les États, elle était considérée comme un acte de guerre légitime et elle était même un mode de vie pleinement accepté par certaines nations. Enfi n, si la marine impériale romaine est parvenue à la maîtriser, elle n’a jamais totalement disparu de la Méditerranée, malgré le contrôle de la Mare nostrum par Rome. Enfin, nous vous invitons à découvrir la nouvelle « Grande Bibliothèque » d’Alexandrie, ou Bibliotheca Alexandria, construite dans les années 1990 à l’emplacement supposé de la bibliothèque antique créée au iiie siècle avant J.-C., et de terminer par escale au temple de Kôm Ombo qui doit sa notoriété au double culte qui fut rendu à Haroëris et Sobek. Bonne lecture !


Egypte Ancienne n°52

Des premiers temps de la période dynastique jusqu’aux dernières lueurs de l’Égypte pharaonique, les reines, « épouse du roi », « mère du roi », « fi lle du roi », ont joué un rôle de premier plan, mais quasiment toujours aux côtés de leur époux. Néanmoins, à au moins quatre reprises, une femme a porté les att ributs de la royauté au même titre qu’un souverain masculin. La plus connue de ces « pharaonnes »
est Hatchepsout, dont le règne a été paisible, prospère et a été suivi par ceux d’autres grands pharaons de la XVIIIe dynastie. Mais trois autres femmes sont montées sur le trône dans des contextes troubles, une crise de succession s’ajoutant à d’autres diffi cultés politiques. Elles ont pour nom Néferousobek, dernier souverain de la XIIe dynastie, Mérytaton, fi lle d’Akhenaton et de Néfertiti, dont le court règne, entre celui de son père et de son demi-frère Toutânkhamon est des plus obscurs et Taousert, qui termine la XIXe dynastie dans une guerre civile, renversée par un militaire qui va fonder la suivante. Mal connus car très peu documentés, nous tentons dans ce numéro de faire un peu de lumière sur les règnes de ces trois reines qui ont été pharaons. Le Livre des morts, dont le véritable titre à l’époque était Livre
pour sortir au jour, est le recueil de textes funéraires le plus connu de l’Égypte antique. « Sortir au jour », c’était renaître, à l’image que les anciens Égyptiens avaient de la mort : une seconde naissance, grâce au corps préservé par la momification. Le plus souvent rédigés sur papyrus, ces textes funéraires sont des formules, très souvent accompagnées d’illustrations, permett ant au défunt d’affronter toute une série d’épreuves jusqu’à l’étape ultime : le tribunal d’Osiris. Face au dieu de l’audelà, il doit déclarer qu’il n’a rien fait de mal. La pesée de son coeur dira s’il dit vrai ou non… Parmi les somptueux temples érigés à l’initiative des Ptolémée en terre d’Égypte, celui du dieu faucon Horus, à Edfou, est le plus imposant. Sa construction est complémentaire de celle du temple de Dendara, voué à Hathor, l’épouse du dieu. Recouvert par les sables, il fut dégagé en 1860 par Auguste Mariett e et accueille aujourd’hui de nombreux visiteurs. Bonne lecture !


Egypte Ancienne n°53

L’Égypte pharaonique a connu plusieurs capitales au cours de sa longue histoire dont on peut encore, pour certaines, admirer des vestiges qui permettent d’imaginer le faste qu’elles devaient avoir à l’époque. Elle a connu aussi plusieurs dizaines de dynasties de pharaons dont certains sont désormais des célébrités. Mais si on évoque Tanis, il est fort probable que ce nom n’évoque pas grand-chose au grand public. Pourtant, Tanis est un lieu qui mériterait d’être davantage connu pour deux excellentes raisons : la première, cette cité du Delta a été la capitale de l’Égypte après la fin du Nouvel Empire, les souverains de la période l’ont voulue à l’image de Thèbes et ils l’ont construite en déménageant les monuments de l’ancienne capitale des Ramsès ; la seconde, un égyptologue français y a découvert la nécropole de ces souverains avec certaines tombes qui contenaient encore tout leur mobilier funéraire. Une découverte au moins aussi extraordinaire que celle de la tombe de Toutânkhamon, mais infiniment moins célèbre que cette dernière. Mais les monuments de Tanis ont disparu depuis bien longtemps et ses trésors ont été mis au jour alors que le monde s’enfonçait dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale.
L’Égypte est la civilisation ancienne qui a porté l’art de la momification à sa plus haute expression : pour les Égyptiens, préserver le corps était essentiel afin de pouvoir renaître dans l’au-delà. Les embaumeurs ont mis au point des techniques qui se sont perfectionnées au fil du temps et alors que l’éternité se « démocratisait » et touchait de plus en plus les classes populaires, ils ont aussi proposé tout une gamme de services en fonction des moyens de leurs clients. Situé à une cinquantaine de kilomètres au sud de Louxor, le temple d’Esna est dédié au culte de Khnoum, démiurge d’Éléphantine et dieu des cataractes, habituellement représenté comme un homme à tête de bélier, ainsi qu’à sa parèdre Neith. Commencé sous PtoléméeVIII et achevé à l’époque romaine, il est l’un des derniers temples construits en Égypte. À cause de sa position sur un terrain assez bas, il avait été recouvert par des accumulations sableuses et divers débris au fil des siècles et la salle hypostyle est la seule section qui ait été dégagée. Ses décors muraux, récemment restaurés, proposent des somptueuses scènes polychromiques. Bonne lecture !



Egypte Ancienne n°54

D’une durée exceptionnelle qui couvre plus de trois millénaires, la civilisation égyptienne semblait traverser le temps d’une façon immuable. Elle a connu des moments de gloire et d’apogée, mais aussi des périodes plus troublées, durant lesquelles l’autorité centrale du pharaon, pivot de tout un système, se voyait contestée par la montée de pouvoirs régionaux, elle a subi aussi le choc d’invasions étrangères,
elle a fini par être soumise à des pouvoirs politiques qui n’étaient plus autochtones, mais rien de tout cela n’a remis en question les fondements de cette civilisation. Pourtant, elle a fini par disparaître et les Égyptiens eux-mêmes ont oublié quasiment tout des traditions millénaires de leurs ancêtres. Qu’est ce qui a provoqué la fin de cette civilisation ? C’est le sujet du dossier de numéro. Fils cadet de Ptolémée V et de Cléopâtre Ière, Ptolémée VIII, surnommé « le Ventru » en raison de son obésité, a un règne compliqué : il est co-roi d’Égypte avec son frère Ptolémée VI de 170 à 163 avant J.-C., puis il devient roi de Cyrénaïque de 163 à 145 avant J.-C. et il redevient roi d’Égypte de 145 à 116 avant J.-C. Son règne agité est marqué par la lutte sanglante contre sa soeur Cléopâtre II, qu’il a pourtant épousée et avec laquelle il a eu un fils, qu’il fera assassiner. Né en Écosse en 1796, David Roberts est un peintre connu pour les nombreuses aquarelles qu’il a faites lors d’un voyage au Moyen-Orient en 1838-1839. Plus d’une centaine sont consacrées à l’Égypte, où l’artiste, fasciné par le spectacle qu’il a sous les yeux, immortalise les monuments tels qu’ils étaient avant que les missions archéologiques n’entreprennent leurs explorations. Dès les débuts de la période dynastique, l’État égyptien, qui prenait tout en charge, avait mis en place un système de soins gratuit, disponible pour tous. Les plus anciens textes médicaux qui nous soient parvenus remontent à environ 3000 avant J.-C. et la médecine égyptienne, une médecine essentiellement magico-religieuse, mais remarquablement avancée pour son époque, s’est ainsi développée sur plus de trois millénaires. Dans certains cercles de pensée, on considère que l’Égypte est à la source de l’initiation et du savoir ésotérique. Cette idée remonte assez loin, à une époque où on ne comprenait pas les hiéroglyphes et où on pensait qu’ils étaient des symboles qui donnaient accès aux mystères divins à des initiés. Même si le déchiffrement des hiéroglyphes invalide cette idée, des mouvements ésotériques modernes continuent de puiser leur inspiration dans les « mystères » d’une Égypte ancienne sans doute plus fantasmée que réelle. Bonne lecture !


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Country of ManufactureFrance
Reference number15795-POCH HI1 2024
Page number464
EditorDiverti Editions
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