Mondes Anciens - Collection 2024
La collection complète de l'année 2024 avec 6 numéros collectors du magazine MONDES ANCIENS.
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Mondes Anciens n°01 - La Terre Sainte
Avant la Terre Sainte, la Terre Promise Selon la Bible hébraïque, il ne saurait y avoir de coexistence sur la même terre entre le peuple hébreu, à qui la terre été promise, et des peuples étrangers. Josué et ses hommes prennent Jéricho puis une trentaine de cités :« Ainsi Josué battit tout le pays […] Il ne laissa pas un survivant et voua à l’anathème tout être animé, comme Iahvé, le dieu d’Israël, l’avait ordonné. » (Josué 10, 40) Pour autant, l’archéologie ne permet bien souvent pas de prouver l’existence historique d’une telle histoire.
La Terre Sainte, une notion chrétienne Aux premiers temps, l’humanité était polythéiste. Tous les peuples de l’Antiquité, Grecs, Romains, Égyptiens, croyaient en l’existence de plusieurs dieux, chacun avec son domaine de compétence, tous réunis dans un panthéon et plus ou moins liés par des liens familiaux. Ce n’est qu’après plusieurs siècles que, peu à peu, s’impose une nouveauté : la croyance en un Dieu unique. Malheureusement, qui dit « Dieu unique » dit aussi « dogme unique » et donc naissance probable de fanatiques.
Mondes Anciens n°2 - Le fanatisme de l'antiquité à nos jours
Le fanatisme à travers les époques
L'Antiquité : Pendant les premiers stades de son histoire, l'humanité était polythéiste. Les peuples de l'Antiquité, tels que les Grecs, les Romains et les Égyptiens, entre autres, croyaient en l'existence de plusieurs dieux, chacun associé à des domaines spécifiques et souvent regroupés dans un panthéon, parfois liés par des liens familiaux. Cependant, au fil des siècles, une nouvelle idée a commencé à émerger : la croyance en un seul Dieu. Cette transition a malheureusement également engendré l'émergence potentielle de dogmes uniques, ce qui a pu conduire à la naissance de fanatismes.
Le Moyen-Age : À la suite de la chute de l'Empire romain, de la disparition de l'empereur et du démembrement de l'Empire en divers royaumes barbares, le rôle du pape s'est considérablement renforcé en tant que principal souverain de l'Occident, exerçant un pouvoir à la fois temporel et spirituel. Au XIIe siècle, sous le pontificat d'Innocent II, cette ambition papale fut réaffirmée avec la vision de créer une vaste théocratie, où Rome serait la capitale et où le pape aurait également le contrôle de la couronne impériale.
La Renaissance : Durant le Moyen Âge, les papes jouissaient d'une autorité morale et spirituelle considérable sur la chrétienté occidentale. Cependant, à l'époque de la Renaissance, leur comportement évolua et certains adoptèrent un style de vie princier, affichant ouvertement leurs liaisons avec des maîtresses et leurs enfants illégitimes. Cette attitude choqua de nombreux fidèles et suscita un mécontentement croissant. L'opposition de l'Église aux appels en faveur de réformes et de liberté de conscience provoqua des réactions, entraînant des décisions aux conséquences dramatiques.
L'époque Contemporaine : De nouvelles formes de fanatismes, « Le fascisme est une conception religieuse de la vie, dans laquelle l’homme est perçu dans son rapport immanent à une loi supérieure, à une volonté objective, qui transcende l’individu et l’élève au rang de membre conscient d’une société spirituelle ». C’est ainsi que Benito Mussolini lui-même définissait le fascisme en 1932.
Aujourd'hui : Malgré le chaos apparent de leurs actions spectaculaires, qui les font paraître comme les extrémistes musulmans les plus fanatiques, l'État islamique suit en réalité une stratégie définie qui a été élaborée par des idéologues islamistes depuis le début des années 2000.
Mondes Anciens n°3 - Les 25 dates qui ont fait la France
Réduire l’histoire de France à une succession de dates reviendrait à signer l’acte de décès de l’histoire comme science humaine et sa résurrection en tant qu’auxiliaire de la politique au service d’une construction à la fois romanesque et identitaire. Néanmoins la chronologie est intimement liée à l’histoire et en constitue l’ossature autant qu’un repère qui permet de situer l’événement. C’est grandes dates qui ont marqué l’histoire de France ne sont finalement qu’un point de convergence qui traverse l’espace et le temps afin de culminer à un instant T qui deviendra un marqueur de la mémoire collective. En effet, pas de baptême de Clovis sans désir et nécessité d’unifier la Gaule autour d’un nouveau ciment chrétien ; l’assassinat d’Henri IV par Ravaillac s’inscrit dans un contexte d’exaspération des antagonismes entre deux factions religieuses qui s’affrontent depuis déjà longtemps ; le sacre de Bonaparte se place lui dans une histoire longue qui fait de lui l’héritier à la fois d’un Clovis, d’un Charlemagne, d’un Hugues Capet et d’un Louis XIV ; la condamnation du capitaine Dreyfus est révélatrice, quant à elle, du passage de l’antijudaïsme à l’antisémitisme, lent processus dont la gestation commence dans la péninsule ibérique au XVe siècle avec la notion de « limpieza de sangre »...
Mondes Anciens n°4 - Les Grands Mensonges de l'Histoire
Les pyramides furent-elles construites par les Hébreux réduits en esclavage ? Hitler est-il mort à Berlin ? Marco Polo s'est-il vraiment rendu en Chine ? La Wehrmacht était-elle réellement supérieure à l'armée française en 1940 ? La madia est-elle à l'origine de l'assassinat de John Fitzgerald Kennedy ? Les Américains ont-ils vraiment marché sur la lune ? Le premier temple de Salomon a-t-il existé ? Les Cathares menaçaient-ils la catholicité ? Les Templiers étaient-ils coupables ?
Autant de questions qui mettent en avant le fait que la grande Histoire fut souvent rédigée dans un objectif précis, souvent politique ou idéologique. En effet, longtemps l'Histoire fut un auxiliaire du pouvoir à l'instar de l'art. Il faut attendre l'avènement de la démocratie pour qu'elle cesse d'être un récit pour basculer dans le champ de la science. Pourtant, encore aujourd'hui certaines assertions historiques ont la vie dure, victimes de l'inconscient collectif et d'une volonté simplificatrice. Le présent numéro propose de revenir sur 25 événements clés de l'Histoire qui, pour passionnants qu'ils soient, pourraient constituer soit un message, soit être vu comme tel.
Mondes Anciens Hors-série n°1 - Le Mont Saint Michel
Les origines du Mont-Saint-Michel, ce sont celles d'un énorme rocher de granite. Si la tradition d'y bâtir est plus que millénaire, avec des antécédents préhistoriques, c'est en centaine de millions d'années que s'évalue l'ancienneté du support rocheux de ces merveilles architecturales. Avec ses voisins Tombelaine et le mont Dol, il a mieux résisté à l'érosion que les roches environnantes, dans lesquelles s'est creusée sa baie. Au gré des glaciations, les variations du niveau de la mer ont fait de lui tour à tour un îlot et un petit mont forestier. Après la période celte, qui appartient à la légende, l'évènement fondateur de l'histoire du Mont-Saint-Michel est la vision de saint Aubert, évêque d'Avranches au VIIIe siècle : l'Archange saint Michel le visite dans son sommeil et le missionne pour édifier un premier sanctuaire sur l'îlot. Les monuments vont se superposer et s'imbriquer au fil des siècles.
Mondes Anciens Hors-série n°2 - 25 objets légendaires
Artefacts, objets légendaires, regalia, reliques… Tous ces objets, qu’ils soient rituels, religieux ou même « politiques », ont pour vocation d’ancrer dans le réel une certaine forme d’abstraction. En effet, avant de devenir palpable par le plus grand nombre, les différentes cosmogonies, qu’elles soient religieuses ou politiques, présentent des objets – réels ou légendaires – dont l’utilisation aurait permis soit un miracle, c’est le cas des reliques, soit de légitimer une autorité politique, c’est le cas des regalia. Parfois, ces objets, à l’instar de l’Arche d’Alliance, du bâton de Moïse ou de la Sainte Croix, se suffisent à eux-mêmes par la place qu’ils tiennent dans la structuration même d’une civilisation. Les étudier met en avant la primauté de ce que l’on peut appeler la « pensée magique ». Même si les thuriféraires des grandes religions s’en défendent, attribuer un pouvoir particulier à un objet relève d’une forme de « magie ». Les objets symboliques de la royauté par exemple, que l’on nomme regalia, ont pour objectif de légitimer l’autorité du souverain sur ces sujets à la fois en tant que continuateur de l’autorité royale, mais également en tant qu’intercesseur entre l’humain et le divin. D’autres objets, ceux que la légende a parés de pouvoirs particuliers, comme la lance de Longinus ou le coffre renfermant les Tables de la Lois, sont l’objet d’un véritable culte et parfois de récupérations ésotériques qui font les « choux gras » des best-sellers de l’été… Il apparaît que l’Homme possède une appétence réelle pour des objets concrets censés représenter une notion spirituelle abstraite.
Country of Manufacture | France |
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Reference number | 15801-POCH HIQ 2024 |
Editor | Diverti Editions |
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